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Tout le monde aspire au respect, mais tout le monde ne le mérite pas. Certaines personnes croient qu’un titre, des années d’expérience ou une position d’autorité leur donnent automatiquement droit au respect.
Cela peut fonctionner temporairement, mais un véritable respect ne peut être exigé. Cela doit être gagné par le caractère, le comportement et l’exemple.
Comme l'a dit à juste titre John Bytheway : « Il vaut mieux être respecté que d'être populaire. La popularité se termine le jour de l'annuaire, mais le respect dure pour toujours. »
Dans le monde d’aujourd’hui, les gens ne veulent pas être traités comme des subordonnés ; ils veulent se sentir en confiance, autonomes et valorisés. Ils préfèrent un leadership doux au leadership dur. Les dirigeants qui influencent plutôt que d’imposer sont ceux qui finissent par gagner le respect.
Le respect ne peut pas être exigé, il doit être commandé
La manipulation, l'ego et la coercition ne créent jamais le respect. Des leaders qui méritent vraiment le respect :
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Montrez une véritable chaleur envers les autres
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Montrer l’exemple plutôt que l’autorité
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Autonomiser au lieu de dicter
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Utiliser l'influence, pas l'intimidation
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Contribution de la valeur au contrôle
Si leurs partisans estiment que leurs dirigeants méritent véritablement le respect, ils l’offriront librement et avec plaisir.
L'histoire de Susan : « Je suis le patron »
Susan travaillait au département de recherche depuis neuf ans, avec six années d'expérience dans un autre secteur. Elle a bâti une base solide et est devenue naturellement la personne de référence pour les nouveaux employés, quelle que soit leur origine.
Au fil du temps, elle a commencé à attendre et finalement à exiger du respect simplement en raison de son ancienneté.
Lorsque Ron a rejoint le département avec près de 20 ans d'expérience dans d'autres entreprises, il est entré avec humilité. Il voulait apprendre, grandir et éventuellement retourner au monde universitaire en tant que membre du corps professoral.
Mais il s'est vite rendu compte que certaines personnes âgées, dont Susan, n'étaient pas intéressées par la collaboration, mais uniquement par la conformité.
Ils ont utilisé leur expérience comme levier et non comme leadership. Le « système de parrainage » est devenu un outil d’exploitation plutôt que de mentorat. Les seniors délégueraient tout le travail aux nouveaux employés et s’en attribueraient le mérite.
Si les nouveaux arrivants ne se conformaient pas, ils risquaient de perdre leur chance d'écrire des livres de manière indépendante, une exigence du département.
Ron a finalement refusé d'accepter cette dynamique. Au lieu de se plaindre sans fin, il a pensé de manière créative, a recherché des collaborateurs expérimentés dans d'autres départements, a réalisé ses projets et a contourné le cycle de l'exploitation.
Sa persévérance discrète a révélé la vérité : le respect ne vient pas de la titularisation. Cela vient de la contribution.
La leçon ? Les titres et l'expérience ne qualifient pas quelqu'un pour le respect. Ce qui compte vraiment, c'est l'impression que vous laissez aux autres par votre intégrité, vos conseils, vos compétences et votre caractère.
Les leaders de niveau 5 imposent naturellement le respect
Ce que vous donnez est ce que vous obtenez, surtout avec respect. Cela fonctionne comme un écho : vous entendez ce que vous projetez. Les dirigeants les plus respectés ne recherchent pas l’admiration ; ils recherchent le but, l’excellence, la croissance et l’impact. Le respect les suit naturellement, presque comme un effet secondaire.
Jim Collins, dans Good to Great, décrit cela comme un leadership de niveau 5, un puissant mélange de :
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Humilité
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La passion de l'excellence
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Volonté professionnelle
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Service aux autres
Ces dirigeants n'exigent pas le respect. Ils le commandent, tranquillement, de manière cohérente et par un exemple indéniable.
Les gens sont de meilleurs juges que jamais
Le monde d’aujourd’hui est plus connecté, informé et plus perspicace qu’à toute autre époque de l’histoire. Les dirigeants ne peuvent pas se cacher derrière des CV soignés ou des titres impressionnants. Les gens observent les actions, pas les présentations.
Les plus grands dirigeants de l’histoire, Abraham Lincoln, Benjamin Disraeli, Mahatma Gandhi et Martin Luther King Jr., n’ont jamais demandé à être respectés. Ils ont agi selon leurs valeurs, et le respect a naturellement suivi. Même Gandhi a rejeté le titre de « Mahatma » parce que la reconnaissance n’a jamais été l’objectif ; l'impact a été.
En fin de compte, les gens sont d’excellents juges de caractère. Ils voient :
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Qui écoute (pas seulement parle)
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Qui donne du pouvoir (pas seulement des commandes)
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Qui guide (pas seulement critique)
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Qui sert (pas seulement dirige)
Le respect vient du comportement, pas de la position.
Points clés à retenir : Comment imposer le respect
Pour vraiment gagner le respect, les dirigeants doivent :
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Traitez tout le monde de la même manière, des stagiaires aux cadres
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Parler de manière cohérente
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Restez ouvert, ouvert d’esprit et accessible
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Influencer avec humilité, pas avec autorité
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Concentrez-vous sur l’impact, pas sur l’image
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Enseigner, guider et responsabiliser les autres
Pensée finale
Tout comme les citoyens obtiennent le gouvernement qu’ils méritent, les dirigeants obtiennent le respect qu’ils méritent. Ne présumez pas que le respect vient avec un titre de poste ou une ancienneté. Les gens d’aujourd’hui sont plus sages, plus conscients et plus rapides à identifier l’authenticité.
Si vous voulez du respect, ne le demandez pas. Gagnez-le. Commandez-le. Vivez d’une manière qui rend impossible de ne pas le donner.
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