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Dans le monde d'aujourd'hui, le leadership est souvent confondu avec la popularité. Mais le vrai leadership ne consiste pas à être aimé, il s'agit d'être responsable, responsable et axé sur les résultats. Alors que la popularité cherche l'approbation, le leadership cherche des progrès. Et le plus souvent, ces progrès ont un coût.
La réalité derrière le rôle
Le leadership n'est pas glamour. Il exige des sacrifices, des décisions difficiles et une résilience inébranlable. Les dirigeants portent le poids de la responsabilité, confronté à la fois à la louange et à la critique, recevant souvent plus de ce dernier. C'est un rôle rempli de défis et rarement apprécié en temps réel. Comme on dit, « Mis à l'aise ment la tête qui porte une couronne. »
Frieda From-Reichmann a dit un jour, «Les gens ont plus peur d'être seul que d'avoir faim, ou d'être privés de sommeil, ou d'avoir leurs besoins sexuels non satisfaits.» Cette citation capture la nature isolante du leadership. Les dirigeants se retrouvent souvent seuls, non pas parce qu'ils manquent de soutien, mais parce qu'ils ne peuvent pas partager ouvertement leurs doutes, leurs faiblesses ou leurs frustrations de peur d'une mauvaise interprétation ou d'une mauvaise utilisation.
Ils sont pris dans un paradoxe: lié à leur serment d'office, tout en aspirant à poursuivre des idées qui se tiennent près de leur cœur. Ils doivent être prudents avec les relations, car même des interactions amicales peuvent conduire à des attentes qu'ils ne peuvent pas répondre éthiquement.
Leadership vs popularité
Le leadership et la popularité coexistent rarement. Alors que les personnages populaires recherchent la validation, les dirigeants se concentrent sur la vision, les valeurs et les résultats. Si un leader devient populaire, c'est un sous-produit, pas l'objectif.
Quand les choses se passent bien, la louange suit. Mais lorsque les plans vacillent, la critique est rapide et souvent dure. Contrairement à la personne moyenne, les dirigeants ne jouissent pas du même niveau d'intimité ou de liberté. Chaque mouvement est surveillé, chaque mot pesé. Ils abandonnent beaucoup de liberté personnelle pour le service public.
« La critique est quelque chose que vous pouvez éviter facilement en ne disant rien, en ne faisant rien et en n'étant rien. » – Aristote
Le coût des responsabilités
John C. Maxwell le dit clairement: « Le prix du leadership est une critique. Personne ne prête beaucoup d'attention aux finisseurs du dernier lieu, mais lorsque vous êtes devant, tout se fait remarquer. »
Aucun leader ne peut satisfaire tout le monde. Leurs décisions peuvent avoir de bonnes intentions, mais les résultats peuvent bouleverser certains groupes. La conséquence? Réactions, désapprobation et parfois même danger. L'histoire a montré cette fois-ci: Mahatma Gandhi, Abraham Lincoln, Martin Luther King Jr. et John F. Kennedy ont tous été assassinés non pas parce qu'ils étaient inefficaces, mais parce que leur vision a remis en question le statu quo.
Le leadership consiste à faire des choix difficiles, souvent face à une opposition féroce. Il s'agit de garder le cap, même lorsque les critiques sont bruyants et que le voyage est solitaire.
Le leadership est une question de responsabilité, pas d'applaudissements
Le leadership n'est pas une quête d'approbation, c'est un engagement à l'action. Il s'agit de faire la bonne chose, pas de la chose facile. Les dirigeants doivent être disposés à supporter l'inconfort, à se tenir dans la ligne de feu et à accepter qu'ils ne peuvent pas plaire à tout le monde.
Diriger, c'est marcher sur un chemin rempli de bouquets et de briques. Il s'agit de conviction, de clarté et de courage, pas de coups.
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